Les machines de traduction automatique laissent régulièrement encore passer des incohérences en matière de terminologie. Le post-éditeur doit être un bon traducteur. Il doit fournir un travail poussé pour trouver/corriger les erreurs de syntaxe, les fautes grammaticales, les ponctuations, etc. Il doit appliquer la terminologie juste en restant cohérent, et garder le ton et le style de son entreprise-cliente.
La qualité des traductions n’est pas du ressort de la machine, mais principalement de l’intelligence humaine.