Le 21e siècle a été le témoin d’une révolution majeure dans le domaine de la traduction grâce à l’intelligence artificielle. La traduction automatique neuronale (NMT) a fait son entrée, propulsant la qualité des traductions automatisées à des niveaux impressionnants. Mais l’intelligence artificielle n’est rien sans l’intelligence humaine ou naturelle. Certes, des plateformes telles que Google Translate ont démocratisé l’accès à la traduction instantanée pour des besoins basiques, et les outils de traduction assistée par ordinateur (TAO) sont devenus la norme, permettant aux traducteurs humains d’augmenter leur productivité. Mais la vraie communication internationale, la diffusion du savoir et la promotion de la compréhension interculturelle, rendant notre monde de plus en plus connecté et accessible, auront toujours besoin de l’intelligence humaine.